CP - Le Parti de la démondialisation est créé

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 Communiqué de presse n°1

Le 26 avril 2016

Aujourd’hui, mardi 26 avril 2016, est annoncée publiquement la création du Parti de la démondialisation (Pardem). 

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Le Parti de la démondialisation est créé

Aujourd’hui, mardi 26 avril 2016, est annoncée publiquement la création du Parti de la démondialisation (Pardem). 

Un parti de nouvelle génération antisystème, qui ne se reconnaît pas dans le clivage gauche-droite, dirigé par des citoyens qui ne sont pas des professionnels de la politique, qui est la voix de l’exaspération des classes populaires et du courant d’idées démondialisateur existant dans la société. Le Pardem présentera des candidats à l’élection présidentielle et aux législatives.

Déclarant la mondialisation néolibérale ennemie publique n°1 des peuples, le Pardem est le seul parti politique français qui s’attaque véritablement au système néolibéral. Démondialiser signifie sortir unilatéralement, pays par pays, de l’ordre néolibéral mondial pour recouvrer la souveraineté nationale. Sortir de l’OTAN, du FMI, de la Banque mondiale, de l’OMC, de l’Union européenne, de l’euro sont, en effet, les conditions indispensables pour reconstruire une communauté internationale sur des bases de coopération et de solidarité.

Le Parti de la démondialisation a adopté un programme de gouvernement de libération nationale et de justice sociale inspiré du programme du Conseil national de la Résistance, qui est le plus complet et le plus détaillé parmi les partis politiques français. Le Pardem ne se place pas dans le clivage gauche-droite obsolète, mais autour de la défense des intérêts du peuple, des classes dominées.

Pour le Pardem, le Parti socialiste et ses satellites (PCF et EELV), portent une responsabilité aussi lourde que la droite dans la conception et la mise en œuvre des politiques néolibérales. Quant au Front national, il fait semblant de vouloir sortir de l’euro et de l’Union européenne, il est un leurre entretenu par la droite comme par la gauche.

Le Pardem aura un candidat à l’élection présidentielle et se fixe l’objectif d’être présent dans toutes les circonscriptions aux élections législatives. Il mettra en pleine lumière le théâtre d’ombre joué par les duettistes des alternances sans alternatives (PS-Droite), et la comédie des fausses alternatives qui ne peuvent conduire les citoyens que dans des impasses (Marine Le Pen – Jean-Luc Mélenchon).

Le Président du Pardem, Jacques Nikonoff, fut président de l’association Attac de 2002 à 2006, et Michèle Dessenne, la vice-présidente, en fut la secrétaire générale. Ils ont été parmi les principaux acteurs de la victoire du NON au référendum sur le traité constitutionnel européen, en mai 2005.

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