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Le Pardem apporte son soutien au peuple du Venezuela contre les ingérences impérialistes. L’indépendance et la souveraineté des peuples ne peuvent être à géométrie variable

Quoique l’on puisse penser du régime vénézuélien, il est du devoir de tout démocrate de s’opposer à une telle ingérence de l’UE dans un pays souverain.

Le Portugal est l’un des six pays européens ayant donné jusqu’à dimanche à Nicolás Maduro, président du Venezueal, pour organiser des « élections libres », faute de quoi il reconnaîtra son adversaire, Juan Guaidó.

Manon Aubry soutient l'idée d'un retour « devant les urnes » du Président légalement élu Nicolas Maduro

Les eurodéputés, inféodés aux USA, ont voté en faveur de la résolution « reconnaissant Juan Guaido comme président par intérim de son pays » par 439 voix contre 104.

Mettre sur le même plan l’intervention la tentative de coup d’état « soft » qu’est l’auto-proclamation de Guaidó et une pseudo répression des plus pauvres est une escroquerie intellectuelle, un mensonge et un renoncement au soutien de la classe dominée.

Adoubé par des multinationales et la finance, Macron a conquis la présidence de la République par effraction. Il se met en scène avec le grand débat.

Le Pardem relaie la pétition « Pour la défense des libertés publiques et des droits démocratiques »,lancée par Le CNSJS (Comité national pour la souveraineté et la justice sociale) créé ce samedi 12 janvier 2019.

Comprendre le rôle néfaste pour les peuples du système de l’Union européenne et de l’euro doit devenir la priorité numéro 1 du mouvement des Gilets jaunes s’il veut conserver l’espoir de remporter la victoire.